Augmente une figure de prisonniers politiques au Nicaragua, selon le corps humain

La figure des prisonniers politiques continue d'augmenter au Nicaragua, tandis que, en revanche, le gouvernement du président Daniel Ortega libère des milliers de détenus communs, de nombreux récidivistes, selon des organisations de droits de l'homme.

Un rapport présenté par le mécanisme pour la reconnaissance des prisonniers politiques, un oenegé qui a un décompte sur les arrestations dans le pays d'Amérique centrale, a documenté un total de 52 appréhensions politiques des adversaires au président Ortega, 15 d'entre eux sont des adultes plus âgés et quatre sont des journalistes.

L'agence indique que parmi ces prisonniers politiques, 35 ont été reconnus coupables de divers crimes, 17 ont déjà été imposés, tandis que 13 personnes sur la liste sont considérées comme « disparues » et où ils sont encore inconnus.

Le gouvernement d'Ortega ne reconnaît pas les chiffres des prisonniers politiques et a décrit le peuple arrêté comme « des criminels et des traîtres à la patrie ».

Depuis 2018, quand le Qu'ils ont fait plus de 300 morts et des milliers d'exils, les arrestations des adversaires sont devenues une constante, dénoncé le collectif des droits de l'homme du Nicaragua, un oénégé basé au Costa Rica.

Les organisations classent cette stratégie comme une «porte tournante» car, tout en s'opposant aux adversaires, en revanche, de nouvelles personnes identifiées par leur position critique au gouvernement sont à nouveau arrisées.

L'administration d'Ortega a également publié des milliers de détenus communs.

Jusqu'au 14 février de cette année, environ 48 964 prisonniers communs ont été libérés au cours des dix dernières années, dont 7,18% ont raconté à la commission d'au moins un crime selon les données officielles.

Le Nicaragua vit une crise socio-politique depuis 2018 pour les manifestations de masse contre le gouvernement Ortega. Les États-Unis et ses alliés ont imposé des sanctions contre les Managua pour les violations des droits de l'homme.

Lors d'une visite au Costa Rica du secrétaire d'État Marco Rubio, il a catalogué le Nicaragua, ainsi que Cuba et le Venezuela d'être « ennemis de l'humanité » pour provoquer des migrations de masse en n'accordant pas de conditions libres aux gens.