Bukele et Petro s’engagent à nouveau sur Twitter

Le président du Salvador, Nayib Bukele, a répondu jeudi à son homologue colombien, Gustavo Petro, qu’il « ne comprend pas » l' »obsession » de son pays, après que le président colombien a partagé un tweet lié à l’enquête des procureurs de New York. York sur des pactes présumés entre des représentants du gouvernement salvadorien et des membres de gangs.

Au début, le matin, Petro une nouvelle d d CNN, qui indique que « les procureurs de New York ont ​​allégué que des hauts fonctionnaires de Bukele avaient conclu un pacte avec les gangs ». « En échange de meilleures conditions, les gangs réduiront le taux d’homicides pour donner l’impression que leur approche dure de la criminalité fonctionnait », conclut l’article.

En plus de celui des médias nord-américains, le président colombien a écrit dans son message que « mieux que de faire des pactes gouvernementaux sous la table, c’est que la justice puisse les faire sur la table sans tromperie et en quête de paix ».

À cet égard, le président salvadorien a réagi par un message énergique : « D’accord. D’abord, il accuse de traitements inhumains et maintenant, ils parlent de ‘meilleures conditions' ».

« D’ailleurs, je ne comprends pas votre obsession pour le Salvador. N’est-ce pas votre fils qui fait des pactes sous la table et aussi pour de l’argent ? Est-ce que tout va bien à la maison ? », a ajouté Bukele.

La semaine dernière, le bureau du procureur général colombien a annoncé qu’il avait ouvert une enquête contre le fils aîné du président Petro, afin de clarifier les rumeurs de pots-de-vin présumés à des trafiquants de drogue et à des prisonniers, impliquant son fils et son frère, en échange de concessions en .

Le clash entre les deux dirigeants, quand le président colombien a déclaré, dans un acte gouvernemental, que la nouvelle prison du Salvador, connue sous le nom de , est un « camp de concentration qui donne des frissons », mais qui déclenche des « popularités ». Des déclarations qui ont provoqué la réaction du président Bukele, qui à Petro que « les résultats pèsent plus que la rhétorique », via Twitter.